Le dancehall sous un nouveau jour
La débauche sexuelle, la violence, l'homophobie sont des thèmes qui nous viennent à l'esprit quand on entend parler de dancehall jamaïcain. Les lecteurs pourront non seulement explorer la société jamaïcaine mais aussi se plonger dans les eaux profondes du dancehall grâce aux analyses pertinentes partagées dans ce livre.
Chimen charèt
Chimène, Jean-René, Chély et Méropée ont vécu dans la même région, mais à des époques différentes. Les années 2000 sont, pour Chimène et sa fille Émily, l’occasion de déjouer les manigances familiales sur fond de favoritisme maternel, de jalousie, de convoitise foncière et de méchanceté qui –trop souvent– déchirent les fratries...
VOYAGE EN MODESTIE Un pays authentique
... Modestie fermait définitivement ses frontières, et c’est Modernité, un pays encore inconnu, mais dont plus d’un vantait les promesses, qui se proposait de nous accueillir. Nous avions tout à réapprendre dans cette nouvelle patrie. Les choses allaient beaucoup plus vite. Mais un fait m’avait marquée : la mentalité des habitants avait changé. La solidarité, la générosité, l’humilité se faisaient désormais rares...
Grains de café
... Des couples, un coiffeur, des jeunes femmes et des jeunes hommes, des responsables politiques, des sportifs, des bandits, des écorchés vifs, des intellectuels et des militants. Chaque histoire a une saveur particulière. Elles promettent toutes de réveiller certaines choses en vous au pire ou sinon simplement vous donner un oeil nouveau pour regarder la vie sous le ciel de nos îles...
BLOK
Des espaces urbains réservés aux jeunes qui macèrent dans des non-dits où la violence et le sentiment d’appartenir à un autre monde poussent à l’utilisation de drogues menant de la dépendance à la mort de l’âme, de l’esprit et du corps ! « BLOK 971 » se veut un cri contre le non-respect du sacré de la Vie, un outil pédagogique pour renouer avec l’être profond que nous sommes pour construire ensemble le monde de l’équilibre où la Jeunesse génère la vie, l’espoir et les fondations de Demain. C’est un conte qui vit et vibre au-delà des frontières pour créer la Renaissance universelle.
Nos publications en ligne
LA QUÊTE
LE KA DE MA VIE
Jean-Claude Antoinette est un homme qui ne passe pas inaperçu.
Musicien guadeloupéen, tambouyé très populaire, il est bien difficile de l’évoquer sans mettre en avant ce qu’il considère comme une pièce maîtresse du patrimoine culturel musical guadeloupéen : le ka.
Dès son plus jeune âge il fut happé par le son de cet instrument et n’éprouva jamais le besoin d’en pratiquer un autre.
Perfectionniste et toujours à la recherche de la meilleure sonorité pouvant mettre en valeur le ka, il s’est produit sur de nombreuses scènes mondiales avec toujours le même désir de faire partager aux autres ce qui fut pour les esclaves des plantations le seul échappatoire possible.
Avec le groupe Van Lévé formé au départ avec ses complices Marcel Magnat, Joby Julienne et Camille Desplan, puis plus tard, José Vulbeau, Claude Savérimoutou, Félix Saint-Cirel, Jean-Pierre Cari et Frank Nicolas
il furent certainement un de ceux qui a le plus fait pour populariser le gwoka aux Antilles mais également aux quatre coins du monde.
Jean-Claude Antoinette se révèle à la fois pédagogue et historien et nous communique avec une telle intensité son amour du ka, que l’on ne peut résister à faire de cet ouvrage, notre livre de chevet.
Quand les cœurs battent aux rythmes du ka
Dans l’ère du temps
« Dans l’ère du temps » retrace une succession d’évènements riches en émotions, s’étendant sur plus d’un siècle d’existence, destinés à faire prendre conscience de certaines dérives de la société, et ce, quel que soit le temps, l’époque ou le lieu. Cet ouvrage rapporte des faits se déroulant sur une période très longue de notre histoire. Un jour après l’autre, une année après l’autre, une vie après l’autre, une suite d’épisodes très diverses dans leur complexité, ayant marqués ce facteur « temps ». D’une époque à une autre, le mécanisme de la vie a donné une succession d’aventures, aussi surprenant les unes que les autres, traversant plusieurs générations, qui pourraient, aujourd’hui, concerner plus d’un. Car à travers ces différents personnages, nous pouvons nous reconnaître. Cela nous fait réfléchir, prendre conscience d’une situation délétère, voire à la fin, changer de direction si nous considérons notre route sans issue, nous qui vivons le temps dit moderne.
L’adonne antillaise – Ressemblance et politique
BRIAND – BRIAND MONPLAISIR – Une histoire de famille
L’auteur de la recherche du puzzle de la famille Briand au travers du prisme généalogique et d’une véracité de connexion intégrante de Briand-Briand Monplaisir, corrobore sans extrapolation, ce lien souche rhizome d’une longue famille loin d’être allochtone. Plutôt vouée vers le Tout Monde. Les trois unités principales de la recherche permettent d’aborder, thèmes, interrogations à l’intérieur l’opus. Pourquoi ce livre ? L’origine du nom Briand ? D’où vient le nom que nous avons ? Elles permettent de créer non seulement un nouvel espace de rencontre mais une reconnaissance inédite de la famille Briand-Briand Monplaisir (Fernand Briand).
Mission à contre-courant – De la Martinique à la Guyane
Charles JESBAC Militaire incorporé au Galion, en 1964 à son arrivée en Guyane, il intègre par la suite, L’Office Nationale des Forêts (l’O.N. F) en tant que prospecteur forestier. Après avoir parcouru durant trois ans, l’Ouest Guyanais (Saint-Laurent du Maroni à Maripasoula), il devient spécialiste forestier. A la fin des années 60, il travaillera comme aide-météorologiste au Centre Spatial Guyanais avant d’intégrer la Police Nationale (1969-1995). Malgré son métier, il gardera un lien très fort avec l’espace naturel et le monde rural. Après un stage agricole en Martinique en 1979, il deviendra l’un des plus grands éleveurs d’ovins et de Caprins de Guyane, sera Président de l’association de ces mêmes Éleveurs de Guyane (APOGAG) et accueillera sur son exploitation de Montsinéry Tonnegrande, de nombreux jeunes en formation issus de la filière agricole.
LES R.P. CARMES à MARIE-GALANTE – Ou les débuts de la Religion aux Isles Françoises d’Amérique et en particulier à Marie-Galante (XVIIème et XVIIIème siècles)
La colonisation des Antilles – les Isles Françoises de l’Amérique – s’est faite au début du XVIème siècle sur la volonté politique de la Monarchie française. Notre Monarchie se voulait de droit divin et était liée au catholicisme depuis le baptême de Clovis en 499… La colonisation – le pouvoir temporel – va se doubler dès le début d’une volonté missionnaire – le pouvoir spirituel. L’Inquisition, les Guerres de Religion vont avoir leurs conséquences dans nos Isles, comme les multiples guerres avec les autres puissances européennes, les Anglois en tête. Tous les Ordres Monastiques vont envoyer leurs missionnaires « Réguliers » dans nos Isles, chacun va essayer de se développer, non sans conflits entre-eux et avec le pouvoir monarchique… Le choix des Carmes et de Marie-Galante comme fil conducteur, tient bien sûr à un choix personnel, mais c’est aussi la seule Isle qui n’ait connu qu’un seul Ordre – les Carmes de Touraine – du début de la colonisation jusqu’à la Révolution Française. Dans leur fonction de prêtres et de missionnaires, ils traverseront 130 ans de la vie de Marie-Galante avec ses hauts et ses bas, et bénéficieront d’un court Age d’Or lié au développement de leurs habitations sucrières, une histoire dans l’Histoire…