Livres
Dans l’ère du temps
« Dans l’ère du temps » retrace une succession d’évènements riches en émotions, s’étendant sur plus d’un siècle d’existence, destinés à faire prendre conscience de certaines dérives de la société, et ce, quel que soit le temps, l’époque ou le lieu. Cet ouvrage rapporte des faits se déroulant sur une période très longue de notre histoire. Un jour après l’autre, une année après l’autre, une vie après l’autre, une suite d’épisodes très diverses dans leur complexité, ayant marqués ce facteur « temps ». D’une époque à une autre, le mécanisme de la vie a donné une succession d’aventures, aussi surprenant les unes que les autres, traversant plusieurs générations, qui pourraient, aujourd’hui, concerner plus d’un. Car à travers ces différents personnages, nous pouvons nous reconnaître. Cela nous fait réfléchir, prendre conscience d’une situation délétère, voire à la fin, changer de direction si nous considérons notre route sans issue, nous qui vivons le temps dit moderne.
L’adonne antillaise – Ressemblance et politique
BRIAND – BRIAND MONPLAISIR – Une histoire de famille
L’auteur de la recherche du puzzle de la famille Briand au travers du prisme généalogique et d’une véracité de connexion intégrante de Briand-Briand Monplaisir, corrobore sans extrapolation, ce lien souche rhizome d’une longue famille loin d’être allochtone. Plutôt vouée vers le Tout Monde. Les trois unités principales de la recherche permettent d’aborder, thèmes, interrogations à l’intérieur l’opus. Pourquoi ce livre ? L’origine du nom Briand ? D’où vient le nom que nous avons ? Elles permettent de créer non seulement un nouvel espace de rencontre mais une reconnaissance inédite de la famille Briand-Briand Monplaisir (Fernand Briand).
Mission à contre-courant – De la Martinique à la Guyane
Charles JESBAC Militaire incorporé au Galion, en 1964 à son arrivée en Guyane, il intègre par la suite, L’Office Nationale des Forêts (l’O.N. F) en tant que prospecteur forestier. Après avoir parcouru durant trois ans, l’Ouest Guyanais (Saint-Laurent du Maroni à Maripasoula), il devient spécialiste forestier. A la fin des années 60, il travaillera comme aide-météorologiste au Centre Spatial Guyanais avant d’intégrer la Police Nationale (1969-1995). Malgré son métier, il gardera un lien très fort avec l’espace naturel et le monde rural. Après un stage agricole en Martinique en 1979, il deviendra l’un des plus grands éleveurs d’ovins et de Caprins de Guyane, sera Président de l’association de ces mêmes Éleveurs de Guyane (APOGAG) et accueillera sur son exploitation de Montsinéry Tonnegrande, de nombreux jeunes en formation issus de la filière agricole.
LES R.P. CARMES à MARIE-GALANTE – Ou les débuts de la Religion aux Isles Françoises d’Amérique et en particulier à Marie-Galante (XVIIème et XVIIIème siècles)
La colonisation des Antilles – les Isles Françoises de l’Amérique – s’est faite au début du XVIème siècle sur la volonté politique de la Monarchie française. Notre Monarchie se voulait de droit divin et était liée au catholicisme depuis le baptême de Clovis en 499… La colonisation – le pouvoir temporel – va se doubler dès le début d’une volonté missionnaire – le pouvoir spirituel. L’Inquisition, les Guerres de Religion vont avoir leurs conséquences dans nos Isles, comme les multiples guerres avec les autres puissances européennes, les Anglois en tête. Tous les Ordres Monastiques vont envoyer leurs missionnaires « Réguliers » dans nos Isles, chacun va essayer de se développer, non sans conflits entre-eux et avec le pouvoir monarchique… Le choix des Carmes et de Marie-Galante comme fil conducteur, tient bien sûr à un choix personnel, mais c’est aussi la seule Isle qui n’ait connu qu’un seul Ordre – les Carmes de Touraine – du début de la colonisation jusqu’à la Révolution Française. Dans leur fonction de prêtres et de missionnaires, ils traverseront 130 ans de la vie de Marie-Galante avec ses hauts et ses bas, et bénéficieront d’un court Age d’Or lié au développement de leurs habitations sucrières, une histoire dans l’Histoire…
Sacré Sapin
Imaginez trouver un sapin en pleine forêt ! Et pas n’importe lequel ! Un grand et beau sapin. C’est M. Sapin. C’est un arbre pas comme les autres. Fier et majestueux, il se considère comme le plus bel arbre de la forêt et le fait savoir à ces voisins. Lors d’une balade en forêt, une tatie avec ses neveux et nièces, trouvent ce beau sapin. Émerveillés par sa beauté, ils décident de le couper et de le transporter à la maison car Noël approche à grand pas. Le sapin est effrayé, car il ne veut pas quitter la demeure dans laquelle il aime bien se pavaner. Bien malgré lui, il se retrouve embarqué afin d’être décoré à Noël. Ce conte moderne de Noël, présente avec beaucoup d’humour les traditions de Noël, à travers le personnage attachant de M. Sapin.
MONUMENTS ET SCULPTURES au rythme de ma vie
Cet ouvrage retrace la production artistique du Plasticien Enseignant Jocelyn Pézeron qu’il a été pendant plus de trente ans. Ces monuments sont des réponses à des commandes multiples qui lui ont été faites dans le domaine public. Plusieurs personnalités ont marqué l’histoire de la Guadeloupe et il les a représentées par des bustes et des statues en béton (matériau traditionnellement peu utilisé). Pour permettre une transmission intergénérationnelle, il a sou- haité faire un clin d’oeil à ces différentes personnalités et de cette manière, il a tenu à les honorer.
Il était une fois Beaumanoir
Ce livre a été écrit pour faire découvrir Beaumanoir, belle section de la Ville du Gosier. A travers cette œuvre, la vie de Beaumanoir et de ses habitants est relatée. L’entraide et la solidarité étaient et sont encore le ciment de ce quartier. Malgré les écueils que rencontraient les familles, Beaumanoir était leur havre de paix et leur petit paradis.
PLUMES – Recueil de poésies
AU FIL D’UNE VICENNALE – Génération 1940-1960 – Quartier Bas de la source – Rue Vatable – Pointe-à-Pitre – Guadeloupe
Authentique Enfant de Pointe-à-Pitre, il y a passé toute son adolescence. Par conséquent, il a connaissance de certains faits et de multiples anecdotes qui concernent sa ville en général et sa rue en particulier. Le récit de ces souvenirs contribuera, nous l’espérons à satisfaire la curiosité du lecteur et à susciter son intérêt. C’est donc à une jolie mais ô combien réaliste balade dans le passé que nous convie Monsieur BREGMESTRE. Un » road trip » qui nous plongera ou nous replongera dans le quotidien des Pointois de cette époque. Rappelons-nous, durant les années 1940-1960, Pointe-à-Pitre c’étaient : – L’usine Darboussier – L’homme au bâton – La Vierge du grand retour – Le carnaval et les masques à MOKAFA – L’Affaire DIETRICH – Le procès des guadeloupéens – Les relations avec la France métropolitaine, les paquebots Colombie et Antilles – Les relations avec le monde religieux – Les petites cases en bois sans eau, sans électricité, pas d’installation sanitaire. C’étaient aussi : – Les longues promenades dans les allées de la Place de la Victoire – Les longues files d’attente devant les cinémas Renaissance et Plaza – Les chemins de croix du Vendredi saint. – L’utilisation des réchauds à charbon. Aujourd’hui ce passé est derrière nous. Au fur et à mesure de la résurgence de ses souvenirs, l’unique objectif de l’auteur est de mieux faire appréhender une manière de vivre à Pointe-à-Pitre durant ces années 1940-1960.
Outrepenser – Nos consciences citoyennes
Comment se structurent nos consciences et la citoyenneté ? – Les récits des histoires et les méandres qui occultent le réel de la démocratie – Les violences socio-politiques envers les citoyens, générées par des personnalités aux curseurs effrités entre normalités et barbaries administratives – Les problématiques familiales, aux sources des identités, quelquefois mortifères – Les pratiques récurrentes des institutions de bienveillance sociale, en recherche permanente de légitimités – Les espaces culturels de la créativité et de l’Art, incontournables pour le développement de l’être du citoyen – La conquête essentielle des outils cognitifs, à l’origine de toute compétence individuelle, professionnelle et collective – Les codes d’erreurs : barbaries, tabous, paradoxes des valeurs, conditionnements aux idéologies.