LE STEEL BAND A CAPESTERRE BELLE-EAU DE 1950 à NOS JOURS

L’association « Harmonik Steel Quartet » H.S.Q., créée en 2012, a pour but de promouvoir la musique (Steel Pan), d’assurer l’initiation, d’organiser des voyages culturels et de découvertes, de réaliser des spectacles et festivités.
Participer et être force de proposition dans l’animation de la vie locale.
Elle développe et anime des actions auprès d’un public très varié (des très jeunes aux plus âgés) avec une formation ciblée selon les niveaux.
En inscrivant l’action de l’association au sein même de l’animation de la ville, nous contribuons à l’émergence de projets locaux. Nous devenons citoyens acteurs et responsables, en lien avec les institutions locales et les associations.
Nous sommes sensibles à cette notion « faire ensemble », c’est favoriser la solidarité, l’accompagnement, l’interactivité, le brassage intergénérationnel et culturel.
Ce que nous construisons n’a de valeur que si nous y associons cette transmission.

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Le point bleu

« Sur la plage de Plum Bay sur l’île de SaintMartin, sous le regard de la somptueuse résidence de Donald Trump, une rencontre… Un homme, une femme…

Caribéenne, sensuelle… Une Idylle ! Celle que l’on rêve… Celle que l’on imagine… Celle qui ne nous déçoit jamais… »

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La famille Mas an Nou, un lieu de réflexion sur le Carnaval en Guadeloupe

Cet ouvrage, dans une littérature si peu généreuse pour notre Carnaval, permet à volonté de revoir des costumes portés par un groupe de Carnaval. Par conséquent l’auteure donne la possibilité de les assimiler, d’y réfléchir, d’en méditer, d’en garder en mémoire, autant de facteurs d’une vraie Culture.

Celle qui n’est ni juxtaposition, ni collection de savoirs et d’émotions, mais réflexion. Elle dévoile aussi les « dessous » de ce groupe, le sien, Mas an Nou qu’elle nomme affectueusement « la famille Mas an Nou » Elle dit ce qui ne se voit pas, ce qui ne s’entend pas, le vivre ensemble d’un groupe de personnes qui travaillent à la promotion de notre Culture.

En somme elle lève le voile sur le quotidien d’un groupe de Carnaval qu’elle veut mieux faire connaître. « Alé di yo, palé ba yo…Mas an nou ka bay sa byen » !

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Le château des Murat ou « Le viol de Murat »

MARIE-GALANTE……Non loin de la résidence princière, du Château des MURAT bénéficiant du même soleil, une case abrite un ménage d’humbles cultivateurs avec ses six enfants,  uniquement des filles….Par l’intermédiaire d’ALICIA, la cadette, l’auteur nous fait partager au fil des saisons la vie quotidienne d’une famille rurale et pauvre qui n’aspire qu’au bonheur, mais qu’une déviance abjecte vient bouleverser et complètement désorganiser… Camille ROUSSEAU

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Eléments – Un regard : Haïti, 1492-1503 – Récit

Quand le marin espagnol Hernando de Ghevara pose le pied sur l’île d’Haiti, la terre des hautes montagnes,  en l’an de grâce 1492, il est loin de se douter que son destin va basculer. Le vent l’a amené, la terre et la mer vont le transformer. Laissé sur l’île par Christophe Colomb,  avec 39 hommes, après le naufrage de la Santa Maria, il sera le seul à survivre. Son amour pour la belle Higuenamota, fille de la cacique Anacaona, lui donnera les clefs de compréhension du peuple Taïno et de sa culture à nulle autre pareille. Avant que l’histoire ne se charge de les engloutir.   Cinq siècles plus tard, cet ethnologue avant l’heure passionne une autre ethnologue, Mireille Nicolas. Grande voyageuse elle aussi et tombée sous l’emprise de l’île, elle s’est glissée en lui pour faire revivre ce siècle       de découverte et de carnage.

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Le dernier salut

Il est des épreuves qui nous amènent à découvrir les autres et à nous  découvrir. Celle qui frappe Lyciane, une jeune lycéenne perturbée, nous renvoie aux expériences douloureuses qui jalonnent la vie d’un nombre de plus en plus croissant de jeunes perdus dans notre société, au point de chercher le salut dans la mort.  Cette héroïne incapable de franchir les obstacles qui entravent son chemin,  se réfugie dans un état dépressif qui la pousse à cultiver des sentiments négatifs tels la rage envers sa propre personne, le rejet de ceux qui la côtoient, des Institutions et des règles de la société, le dégoût pour la vie.  Quand survient le décès brutal d’un être d’exception, sa professeure d’anglais à qui elle avait récemment accordé sa confiance pour faire d’elle une « bonne, bonne, bonne  personne » et une excellente élève, la souffrance qu’elle endure, la grandit. Elle perd ainsi quelques illusions sur elle-même et sur les autres. Elle devient adulte.Ce roman qui est une exhortation envers les jeunes à reconnaître l’Ecole comme garante d’un bonheur possible, puise sa force dans l’art qui caractérise l’enchevêtrement de la fiction et de la réalité.

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Le Conquiste t’adore

L’auteur de cet essai, un Guadeloupéen voulant gérer sa part de descendance de l’esclavage et de la colonisation, musicien autodidacte passionné, guetteur de la culture, sentinelle de la tradition, passeur de mémoire, accélérateur de tentation, défenseur de l’écologie acoustique, ne cesse de s’émerveiller devant ce son envoûtant. Ce son propage la liberté d’avoir un second souffle, de créer et de révéler la qualité primordiale de la musique, qui est de faire converger la pensée de l’homme, au nom du droit des peuples à décider d’eux-mêmes.Depuis toujours, il est sensible aux objets naturels du monde dans lequel il vit. Porté par la curiosité, il empoigne à bras-le-corps ce corps résonant, et découvre comment produire des sons. De ce corps-à-corps, il devient un Conquiste expert, qui adore trouver et faire écouter de nouvelles couleurs sonores. Il aime à montrer comment tirer des sons de ce cor naturel. Des sons qui le forment. La résurgence de souvenirs enfouis au plus profond de son être fait de lui ce qu’il est aujourd’hui. Il se réapproprie ce qu’il doit aux temps passés. Il vit en harmonie avec lui-même, en cultivant ce trait culturel. L’envie de participer à la vie culturelle l’inspire. Défenseur de l’héritage de cette conque tantôt laissée à l’abandon, il perçoit ce qui se joue entre l’émission de ce son mystérieux et son retentissement sur l’esprit, le corps et l’âme. Malgré la rupture migratoire qui masque l’histoire lointaine de la Guadeloupe, la magie du rôle de la musique et du musicien continue d’opérer. Fort de sa conviction, il comprend que la pratique socioculturelle de l’aérophone en conque marine serait une parfaite méthode éducative de ralliement autour de la démocratie culturelle, avec des mots d’ordre tant désirés pour une population, qui pourraient servir d’acte de passage à une autonomie réelle, une responsabilité personnelle, et à une solidarité internationale assumée.L’action pratique de la devise française Liberté-Égalité-Fraternité à travers un autre mythe, Autonomie-Responsabilité-Solidarité, n’est ni incompatible ni contradictoire avec la démystification de la transversalité du tempérament du « Son a Péyi la » pour expliciter ce qui fait l’humanité de l’homme.Camille ROUSSEAU

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Ça, c’est Paris ! – Première traversée – Tome 2

Le premier tome « Première traversée »nous livre une aventure déjà très riche en rebondissements que vit une famille guadeloupéenne  à cause d’une erreur de diagnostic médicale qui poussera Diana cette mère de famille à quitter son île natale sur un somptueux paquebot sur lequel elle vivra une aventure sans lendemain avec le commandant. A son retour en Guadeloupe elle est enceinte et de cette grossesse naîtra un charmant bambin bien blanc et bien blond. Dès l’ors vont s’installer des tentions entre elle et son mari Pit qui n’acceptera jamais d’avoir été trompé ; il deviendra de plus en plus violent. Diana se verra contrainte de quitter à nouveau la Guadeloupe sans ses enfants.« Ça c’est Paris » tome 2 tout aussi riche en événements nous met dans un nouvel environnement extraordinaire dans lequel les enfants de Diana après avoir été enlevés par leur mère vont évoluer. Ils ont cette chance exceptionnelle de se retrouver dans un quartier des plus chics de Paris et de ne pas vivre dans ces taudis où bon nombre de compatriotes atterrissent à leur arrivée dans les années 60. Ils le doivent à leur mère qui est prête à subir tous les caprices de la vielle bourgeoise afin d’assurer un logement décent à ses enfants. On retrouve au bout de la plume de Jean-Claude Pierre, ce style accrocheur. Le lecteur comme dans « Première traversée »  est tenu sans cesse en haleine : Dès la première page, vous avez envie de tourner la suivante et ainsi de suite jusqu’à la dernière page.

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GUADELOUPENSIS Réflexion sur un pays perdu

L’enseignant, après les parents, est  celui chargé, par la tradition, de transmettre le savoir, l’éducation. Il assiste, génération après génération, à la mutation du peuple.  Plus de 3000 élèves, et presque autant de familles ont année  après année bousculé ses souvenirs des valeurs que certains parents tentent encore de transmettre fidèlement.Et pourtant, nous, peuple de l’oralité,  nous ne parlons plus à nos enfants. Nous perdons nos vertus, nos valeurs nous embourbant dans une assimilation sans condition, et, nous périrons sûrement  si nous ne prenons garde.Professeur de français au collège  de Gourbeyre, l’auteur  nous confie son regard sur sa Terre, ses réflexions, son analyse de  « l’évolution » de son pays.Il nous invite surtout à observer notre entourage et notre environnement, avant qu’il ne soit trop tard…

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Le destin de Grisette

Aux Saintes, Grisette perd sa famille dans une souricide. Noyée dans sa tristesse, elle décide de naviguer à la dérive, ainsi commence une aventure qui termine par une histoire d’amour. Livre en français et en espagnol

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Des idées et des mots

Ses multiples activités dans la vie associative, sa profession, ont  souvent conduit Paul MOUNSAMY à être sollicité pour prendre la parole.Il a parlé lors des commémorations, inaugurations, décorations et en beaucoup d’autres circonstances.Il représentait  régulièrement le Docteur Jacques GILLOT, Maire de GOSIER, dans les Assemblées Générales d’Associations qui se tenaient dans sa Ville.L’auteur veut faire connaître des évènements qui ont marqué la société guadeloupéenne. Il veut aussi faire revivre une vie, éclairer un visage pour perdurer.Paul MOUNSAMY est Officier des Palmes Académiques, Chevalier dans l’Ordre National du Mérite, Titulaire de la Médaille de Bronze du Ministère de la Jeunesse et des Sports.

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