Meurtre par petites doses

Meurtre par petites doses – Le cauchemar de Célia Wilson

Cette histoire se déroule dans une grande propriété à Cambrefort dans la ville de Capesterre-Belle-Eau. Une jeune femme, Célia Wilson tomba éperdument amoureuse d’un homme, Clarence Provost.
Mais cet homme était un vrai tyran et un très grand coureur de jupons. Célia Wilson, lasse d’être traitée comme une moins que rien et d’être martyrisée, décida de l’assassiner par empoisonnement à petites doses. Y parviendra-t-elle ?

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La Caraïbe aux deux visages

Dans « la Caraïbe aux deux visages », elle brosse la vie de deux femmes antillaises qui, tout comme elle, sont déchirées et malmenées par le lourd passé colonial où s’entremêlent amitié, amour, haine, jalousie, avant de retrouver la paix.
Cette paix modifie leur vision des choses, ce qui leur permet d’envisager l’avenir de la Caraïbe avec sérénité.

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Célina – L’enfant trop vite devenue femme

Célina n’a qu’un rêve : devenir artiste et, dès son plus jeune âge, elle se prépare à embrasser cette carrière. Seulement, bien des obstacles vont se dresser sur sa route.

Par naïveté sans doute, elle se laisse séduire par un garçon qui, pour arriver à ses fins, lui explique qu’il n’y a aucun danger à s’offrir à celui qu’on aime.

A l’heure où ses petites camarades vont à l’école, la voilà maman, une situation qui lui porte un sérieux préjudice dans son projet d’avenir.

Pourtant, loin de se laiser abattre, elle va mettre toute son énergie à rattraper le temps perdu et passera brillamment son Bac.

Dans son pays, Haïti, monter sur les planches s’avère difficile ; alors, c’est à Paris qu’elle va essayer de concrétiser sa passion pour le théâtre. Les débuts vont être laborieux, mais jamais elle ne baissera les bras.

De petits boulots en petits boulots, elle va survivre jusqu’à ce qu’elle rencontre un metteur en scène qui lui ouvrira les portes de la réussite.

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Une nuit à l’Opéra

Bintou Camara, petite fille de la Banlieue Parisienne, découvre sa passion de danseuse, quand elle franchit les portes de l’Opéra pour la première fois.
Saura-t-elle trouvée les forces nécessaires pour réaliser ses désirs ? Vous le découvrirez à travers sa formidable histoire.

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Madiya, une lumière noire

Vers la fin du XVIIIème siècle, 3 Pères Capucins se rendent à Dahomey pour une mission d’évangélisation. Grâce à LOUIS XIV et un autre nègre, le Christ les a précédés à Abomey où ils s’installent pour mener leur vie apostolique. Parallèlement, ils introduisent la lecture et l’écriture dans cette région martyrisée par la traite négrière.
Madiya, une négresse orpheline, découvre, émerveillée, le message de l’Evangile grâce au Père Charles. Convertie, elle désire par-dessus tout enfanter un fils qui serait au service de Dieu. Enceinte, victime de « la Nuit Blanche », elle échoue en Guadeloupe sur une habitation sucrière de Saint-François. Après la naissance de son fils Allouli, elle ne peut accepter l’humiliation subie par la Vierge abritée dans la chapelle de madame LANOË qui l’avait achetée, elle, Madiya. Secrètement, elle enlève la statue et la cache sur une colline de Baie Olive, dans une grotte. Elle laisse une lettre dans la chapelle, faisant de cet événement un miracle pour cette esclavagiste. Celle-ci fait alors supprimer l’esclavage ce qui ne plaît pas à ses pairs. Allouli, suivant la volonté de sa mère, transmet à son fils le vœu de Madiya. Ce dernier, un demi-siècle plus tard, découvre la statue. Cette apparition fait de cet endroit un lieu de pèlerinage.
Diderot, arrière-arrière-petit-fils de Madiya, fasciné par l’histoire de Baie Olive, réalise enfin le vœu de son ancêtre.
C’est ainsi que, 150 ans plus tard, le 04 octobre 1970, Diderot devient Monseigneur Siméon OUALLI,
1er évêque de la Guadeloupe. Amen.

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Mi bab mi !

Voilà Paul François COMMIN avec un nouveau livre qui, comme le premier, colle à une certaine réalité locale.
L’auteur, Ingénieur territorial principal honoraire, mène une activité de reconversion dans le Diagnostic Technique Immobilier mais continue, comme il l’a toujours fait, à consacrer une partie de son temps de loisir à l’écriture.
D’ailleurs, il ne cache pas qu’il voulait répondre à ceux de ses lecteurs qui voulaient une suite à : « Hé …Eau, Mous-la ! »
Pourtant, même si le second ouvrage « Canal 9 » laisse transparaître son « âme », un fil commun relie les trois ouvrages : une intégration totale de son identité, liée à un amour indéfectible pour le pays Guadeloupe.
En mettant en perspective un certain nombre de « Bab » et de désagréments qui ponctuent le quotidien de cette île, il veut apporter sa contribution dans la lutte qui est engagée contre la violence au sein de notre société, tout en sachant que cheminer sur la voie de la non-violence est extrêmement rude.

Le pays se dit d’une région envisagée du point de vue d’une certaine identité ou communauté d’intérêts de ses habitants ou encore une entité territoriale créée pour tirer parti de cohérences géographiques, historiques, économiques ou sociales.
Au regard de ce qui est énoncé, ces définitions correspondent parfaitement à la réalité de la Guadeloupe, de la Guyane et de la Martinique et peuvent ainsi être présentées comme des pays français d’Amérique.
Terres aux confluences de plusieurs cultures politique, normative, économique, culturelle et sociale, les pays français d’Amérique suscitent des questionnements sérieux qui invitent le citoyen à la réflexion.
Le présent ouvrage a cette ambition en proposant des gloses sur les institutions, sur la politique économique et sociale, sur les relations internationales et européennes, sur l’écologie. Bien que le propos soit libre, il n’en demeure pas moins empreint de rigueur dans ses développements.
L’ouvrage est une invitation à instaurer le débat, en persuadant le citoyen qu’il est le premier décideur au sein d’une société organisée.

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Kola

Troisième volet de la trilogie que l’auteur consacre à une période allant de 1950 à 1970, Kola raconte l’histoire de deux jeunes qui se rencontrent dans un avion et que le destin va unir pour le reste de leur vie. Cette histoire qui parait invraisemblable est pourtant tirée d’une histoire vraie. Quel est ce secret qui lie ces deux jeunes qui quittent leur île pour aller faire des études en France ? L’auteur nous entraine dans un labytinthe dont on est loin d’imaginer où il nous conduira.

Cet ouvrage à tiroirs qui est une des sépcialités d’Hugues Pagesy atteint içi un degré de finesse, de subtilité et de curiosité qui fait que la nécéssité de connaitre la fin de l’histoire est manifeste à chaque page.

Pourquoi ces jeunes qui s’aiment et qui entretiennent des relations que seul un grand amour l’un pour l’autre peut expliquer, n’arrivent pas à donner libre cours à leur passion ?

L’auteur maintient le suspens, nous donne quelques pistes, mais très vite nous oriente ailleurs en fermant les portes qu’il avait lui-même ouvertes.

Avec KOLA, BEKE et KOLOMBIE l’auteur a bouclé sa Triologie. Trois oeuvres qui certainement marqueront le paysage littéraire caribeen.

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Première traversée

La Première traversée nous plonge au cœur de l’aventure sensible de Diana, une belle guadeloupéenne de 21 ans. Afin d’accompagner sa nièce à Paris, cette jeune femme embarque sur un somptueux bateau et quitte son île natale, laissant ses deux enfants derrière elle. Sur ce navire, elle vit une aventure innocente qui la marquera à jamais.
À son retour, elle est enceinte…

De cette grossesse naîtra un charmant bambin, bien blanc et bien blond. Ce petit être bouleversera profondément son entourage. Yan, le fils cadet, verra sa vie chamboulée par l’arrivée de ce petit ange qui accapare l’attention des siens. Pit, le mari de Diana, se croyant trompé, n’aura de cesse de devenir de plus en plus violent. Au milieu de tout cela, notre héroïne elle-même reconsidérera totalement sa façon d’envisager la vie. Jusqu’où ces différents changements entraîneront-ils cette famille ? Ces tensions la pousseront-elles jusqu’au point de non retour ?

Avec justesse, Jean-Claude Pierre livre un roman foisonnant, haut en couleurs et riche en émotions. L’histoire qu’il porte au bout de sa plume nous met face à un troublant quotidien, à ses déchirements, à ses revirements et à ses regrets. Construit comme une poignante réalité, cette chronique de vie se mêle à un jeu de voix narratives affuté qui nous tient sans cesse en haleine. Aux côtés des personnages, nous frémissons, vivons leurs déboires, participons à leurs joies, toujours guidés par l’expression plaisante et accrocheuse de Jean-Claude Pierre.

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L’appel du sol

’Appel ! Voilà que le ventre de l’Univers s’ouvre tout entier à une Femme.
Elle fait un parallèle entre hier et aujourd’hui et montre les changements avec la montée de la violence, les difficultés rencontrées par une jeunesse aux abois, les nouvelles modes de vie, les sectes, etc.
Prise de conscience, évasion, devoir de mémoire, quête d’un retour au…SOL, tout est dit avec force et conviction.
Cet ouvrage nous plonge dans l’Intériorité de l’Etre ; des êtres et des vérités émotionnelles se déshabillent, s’affichent nues.
C’est alors que surgit l’Appel. L’Appel à l’Unité, à la Conscience, à l’Amour et à la Paix Universelle.
A travers les pages, Tout s’entremêle à travers la Nature.
Paroles, sons, lumières pour repeindre l’Avenir avec des mots qui nous rappellent à l’ordre et qui s’accouchent tout seuls… une nouvelle forme d’écriture, un exercice où le français et le créole s’allient, s’entrechoquent…
Ce cri s’élance sans tabou de la Caraïbe vers l’au-delà.

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Mawy

Mawy, fille de Ida et de Moa le chasseur, enfant de la tribu des Peuls, peuple de la savane, peuple des libres et des braves raconte cette descente aux enfers, ces bateaux négriers, ces hommes fantômes,
le fouet, cet amas de corps puant…

« De quoi peut-on rêver dans cette vie sans vie ?
Nous avions à peine le droit de respirer, nous mangions des restes quand il y en avait, nous dormions, un œil ouvert, quand il nous était autorisé de dormir, nous respirions parce qu’ils n’avaient pas trouvé encore comment nous l’interdire.
Nous chantions pour tenter d’exister…

Cet homme sans couleur martelait ma pensée tout autant que cette question sans réponse : pourquoi ?

Ce soir-là, j’appris non seulement le nom de mes compagnes, mais aussi, ce mot qui nous désignait tous ; tous ceux que la grande pirogue avait moulus, pillés, salis, déshonorés et recrachés : « NEGRE ». »

Un roman criant la vérité : véritable tragédie, crime contre l’humanité.

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Les yeux d’Amélys

Antoine est de retour dans son village natal après quarante années d’absence.
Il retrouve la petite place, et… ses souvenirs… Un sourire, une voix, et surtout un regard…
Antoine était resté célibataire toutes ces années, son cœur appartenait à une femme d’une rare beauté dont la photo ne l’avait jamais quitté.
Pas une lettre, pas un signe de vie.
Qu’était-elle devenue ?
L’aura-t-elle attendu ?
Antoine avait peur de l’avoir aimée toutes ces années pour la perdre aujourd’hui ».

L’auteur nous entraîne, avec volupté, dans toutes les émotions d’un amour dantesque dans une tiédeur tropicale sur fond de paysage pittoresque.

Cette romance nous tient en haleine, nous fait partager une passion ardente jusqu’à faire battre nos cœurs.

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La Danbwézo – Une histoire à grignoter sans modération…

Crainte par superstition, décriée par jalousie, enviée, désirée, la Danbwézo incarne une femme créole belle de liberté, riche de convictions, forte de confiance en soi, qui traverse la vie en tonbé lévé sans s’arrêter pour pléré mizè.
On lui attribue les dons les plus divers, les pouvoirs les plus étendus.
On la croit indestructible. Par-delà la mort, elle continue de hanter les esprits.
C’est une histoire restituée, une histoire imaginée, une histoire vécue, car c’est une histoire fantastique sur fond d’une croyance populaire qui aujourd’hui encore trouve des adeptes..

L’auteure est une enseignante retraitée, encore imprégnée des valeurs inscrites dans sa fonction initiale d’institutrice. Enfant ayant grandi à la campagne, son esprit s’est ouvert au monde dans la dualité de deux « langues » : l’une savante, la langue de l’école, des livres, du BIEN DIRE, assimilée laborieusement, l’autre, libre, sonore et colorée, véhiculant allègrement l’expression de personnages réels ou fictifs engagés dans l’âpre combat de leur existence.

Ce livre se veut une fenêtre entrouverte sur un pan d’une histoire, sinon vouée à l’oubli.

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